Le soleil s’écrasait sur les perles blanches brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient similaire à la carcasse rouillée d’une ancestrale cabine téléphonique. Posée seule au fin d’une avenues oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, tout dimanche à midi, une sonnerie https://andersonvmemr.is-blog.com/40400493/la-cabine-du-septième-quantième