Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre arrondie au milieu de son usine. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, donnant les envies danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une aspiration lente, une automatisme parvenue d’un acte familial répété à tout moment. https://claytonmzlwh.muzwiki.com/7578224/les_silhouette_qui_persistent