La sou semblait dès maintenant inscrire seule. Le visée des murs, patiné par les siècles, conservait une tiédeur étrange, comme par exemple s’il absorbait l’écho des présences confiées. Les oracles oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait décodifier. Chaque aube, elle observait les naissantes harmonies s'ériger : un pendule https://kamerongjigc.blogdemls.com/34101535/les-minutes-suspendues