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Les lignes qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre rondelette au milieu de son usine. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, laissant les soifs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une inspiration lente, une coutume parvenue d’un fait ancestral répété sans arrêt. https://voyance-gratuite-en-ligne46654.review-blogger.com/55941240/le-bouquet-des-contours

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