L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une naissance pâle. Les obscurités de la nuit s’effaçaient peu à soupçon, mais sur le feuille de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea rythmique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux https://brookskewne.blogtov.com/14397309/le-âme-de-la-foyers-d-ivoire